Présidentielles 2022

Au terme d’un quinquennat riche en crises sociales liées à la volonté réformatrice de notre actuel gouvernement, la possibilité d’un débat – pourtant objectivement nécessaire – paraît exclue.
La crise sanitaire, par une surexposition médiatique quotidienne, a pris le pas sur tout le reste pendant près de deux ans, repoussant d’autant un bilan sociétal qui n’a mécaniquement fait que s’alourdir sur la voie du « Quoi qu’il en coûte ».
La campagne présidentielle, dans le contexte de conditions sanitaires quasi normales, laissait espérer que cette grave lacune serait enfin – au moins partiellement – comblée. Hélas, c’est cette fois la guerre en Ukraine qui est venue remplir l’espace dans tous les grands médias.
Par delà les raisons de cet état de fait, une chose y est particulièrement mise en évidence ; la petitesse de notre vie démocratique, si peu démocratique qu’elle se réduit peu ou proue à un bulletin de vote.
Pourtant, la question d’autres formes de participation se pose de plus en plus au sein de la population.

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